Jean Servoin
Né à Chateaudun, en Eure et Loire, Jean épouse Danielle en 1950. De leur union naitront deux fils.
La famille découvre notre l’agglomération à l’occasion d’une cure thermale dans les années 60. Une quinzaine d’année après ils achètent une maison à Bellerive, d’abord mise en location avant que le couple ne vienne s’y établir lorsque l’heure de la retraite sonne pour Jean au début des années 80.
Sa longévité surprend un peu les siens car il était un gros fumeur de cigare, pas très sportif, et aimait bien la table et les bons vins. C’est un peu un contre-exemple médical d’après les dires de ses fils.
Yvonne Bonnet
Yvonne est née à Vichy. Elle a e un fils, devenu porte-drapeau du Souvenir Français, qui lui donnera deux petits-enfants qui donneront naissance à trois arrière-petits-enfants.
Yvonne s’installe ensuite à Cusset où elle voit depuis son bureau de commis d’administration l’ouverture du lycée de Presles en 1974 (aujourd’hui lycée Albert Londres). Elle arrive à Bellerive en 2008 où elle vit entre amis, dans une résidence conviviale.
Pleine d’entrain et d’humour, elle entonne même une ancienne chanson : « Le bourbonnais où l’on vit cent ans… »
Henri Morel, né le 14 mai 1920 à Cunlhat (63)
Très touché par cette attention, Henri Morel, qui fêtait aujourd’hui son 100e anniversaire a reçu, entouré de son fils Robert, de son aide à domicile et de ses voisins la visite « surprise » du premier magistrat de la commune. Bellerivois depuis 1954, cet ancien policier en poste à Bellerive jusqu’en 1976 en a « vu passer des Maires », et de poursuivre avec humour dès l’arrivée de Francois Sennepin, « j’avais parié sur votre élection » ! Des souvenirs, des anecdotes professionnelles, heureuses et moins heureuses, toute une vie rappelée et distinguée par trois médailles : en 1959, il reçoit la Médaille de courage et de dévouement, puis la Médaille d’honneur de la Police nationale à la suite d’une mauvaise blessure par l’auteur de l’attentat d’un sénateur d’Oran en cure à Vichy, et la Médaille de bronze de jeunesse et sport pour ses longues années de bénévolat à la Bellerivoise Gymnastique dont il prit la présidence pendant 4 ans.
Marguerite Legay, née le 11 mai 1920 à Cusset
Cette journée particulière du 11 mai a aussi été marquée par les 100 ans de Marguerite Legay. Bellerivoise depuis plus de 50 ans, et épouse de Maître Legay, Notaire pendant 20 ans à Bellerive et décédé l’an dernier dans sa 106e année, Marguerite Legay espère pouvoir reporter la célébration de son anniversaire entourée des siens. La maison familiale dans laquelle elle revenait aujourd’hui après deux mois de confinement, accueillera le moment opportun, nous l’espérons vivement, ses 4 filles et ses 17 petits-enfants et 19 arrières petits-enfants. Un beau moment en sa compagnie qui nous rappelle que ce n’est pas la jeunesse mais la vieillesse qui n’a pas d’âge.