Bellerive, durablement belle !
Depuis 2014, Bellerive s’est engagée progressivement dans une politique environnementale zéro phyto avant même que la loi ne l’impose. Grâce à son adaptation réussie par des méthodes alternatives de tonte, de désherbage ou d’engazonnement comme l’hydromulshing, Bellerive a été récompensée en 2017 pour toutes ses actions avant-gardistes. Pour aller plus loin, elle a obtenu en 2018 le labellisation trois fleurs au concours régional de fleurissement pour toutes ses actions. Elle a également atteint le niveau 3 du Réseau Fredon (le plus haut), et de fait remplie toutes les conditions pour décrocher le Label national « Terre saine, communes sans pesticides » porté par le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire. Un travail de longue haleine pour enfin accéder au label « Ville résidentielle »
Une gestion environnementale maîtrisée et engagée dans le développement durable
Zéro pesticide, encore plus de nature à Bellerive
Tolérer quelques herbes, c’est protéger notre environnement et notre santé. Dans une commune qui s’emploie à ne plus utiliser de pesticides, la présence de flore spontanée sur les trottoirs, au pied des arbres ou dans les cimetières n’est pas le signe d’un manque d’entretien mais celui d’un nécessaire changement de nos paysages. Ces herbes ne sont pas mauvaises : elles sont utiles à la biodiversité et doivent retrouver leur place dans l’espace urbain. En supprimant les pesticides pour l’entretien des espaces verts, c’est toute une réflexion qu’il a fallu mener, des alternatives qu’il a fallu mettre en place pour valoriser la biodiversité.
Ne plus appliquer de désherbant, c’est possible !
Bellerive met en œuvre des techniques alternatives dites douces et sélectives. Cette gestion différenciée est une façon de gérer les espaces verts en milieu urbain et péri urbain qui consiste à ne pas appliquer à tous les espaces la même intensité ni la même nature de soins. C’est une gestion des espaces verts plus proche de la nature et plus respectueuse de l’environnement. C’est aussi un élément de plus en plus important dans l’attribution aux communes de nouvelles fleurs (ville et village fleuris).
Les différentes méthodes d’entretien utilisés et les sites concernés
L'entretien des trottoirs et des rues
La tonte différenciée
La fauche tardive
Les zones de floraison printanière
L'hydromulshing
Les prairies fleuries
Des actions en faveur de la biodiversité
Que ce soit dans le choix des techniques face à l’arrêt du désherbage chimique, l’utilisation d’un broyeur pour donner une seconde vie aux branches élaguées, la plantation de nouveaux arbres, la pose des nichoirs à mésanges dans toute la ville ou des cabanes à canards au bassin des Tribles, l’échenillage manuel des arbres infestés par les chenilles processionnaires…, le travail quotidien des agents municipaux renforce l’engagement de la commune à préserver son environnement et son cadre de vie. Pour aller plus loin, Bellerive passe à la vitesse supérieure en 2019. Des tests de floraison ont été appliqués dans certaines zones de tonte différenciée pour les insectes et les abeilles, des ruches pédagogiques installées ainsi que des hôtels à insectes. Quant au fleurissement de la Ville, 2019 est l’année des fleurs champêtres variées pour les abeilles !
- Communiqué de presse : Attribution de la troisième fleur
- Communiqué de presse : Bellerive protège ses abeilles
- Communiqué de presse : Plantation d’arbres
- Communiqué de presse : Parc du pont d’Allier : 4 sapins de Noël écolo
- Communiqué de presse : Végétalisation du rond-point des Vaures
- Communiqué de presse : Une journée pédagogique pour découvrir le monde des abeilles
- Communiqué de presse : Des rosiers « Rêves de Gosse » Parc du Pont d’Allier
- Communiqué de presse : Des pots de miel, pour les mariés bellerivois
Premier gros récupérateur d’eau pluviale en service
Afin de répondre aux enjeux environnementaux en matière de récupération d’eau de pluie, la Ville de Bellerive vient d’installer à l’espace Jean-Dubessay le plus gros récupérateur d’eau de pluie de l’agglomération (93m3). Réalisée en ce début d’année 2024 par l’entreprise Diaz-Bouchet concept basée à Creuzier-le-Vieux, l’installation de la cuve de récupération alimente dorénavant les sanitaires de l’espace Jean-Dubessay. D’une capacité d’environ 45 jours sans pluie, ce nouveau dispositif sera utilisé également pour l’arrosage des espaces verts de la commune.
Déploiement de l’éclairage à LED
La ville déploie un éclairage vertueux et environnemental
Le plan de renouvellement de l’éclairage public via la technologie LED va bon train. Sur les 1800 candélabres que comptent la commune, plus d’un tiers sont dorénavant équipés d’un dispositif d’éclairage de meilleure qualité et moins énergivore !
Concrètement, en 2017 le coût de fonctionnement (consommation et entretien) de l’ensemble des lampadaires était de 144 693 €, contre 121 028 € en 2019. Soit une économie de 23 665 € sur l’année.
Plus d’une centaine de mâts LED en 2021
Depuis janvier, le secteur autour du pont de Bellerive et du Carré d’As a fait l’objet de nombreuses modifications ou créations d’éclairage. Les 43 mâts sur l’avenue du Général de Gaulle en tête de file.
Le Creux Véry, l’avenue Auberger, la rue des Acacias et le quartier de la Rama ont été traités en partie. Ainsi que le haut de la rue Cavy, en arrivant sur les futures unités de production Fleurus.
Rien que sur 2021, l’économie supplémentaire réalisée en coût de fonctionnement avoisinera 14 000€. Ce qui fait de cette politique soucieuse de l’environnement et pragmatique au niveau budgétaire, une opération déjà amortie tandis que les gains, eux, sont durables !
Bellerive accélère le déploiement de l’éclairage public LED
Pour apporter davantage de confort aux usagers et réduire encore ses consommations énergétiques, la Ville de Bellerive poursuit le déploiement de l’éclairage LED engagé en 2017. Sur les 1 800 candélabres que comptent la commune, plus de 50 % sont dorénavant équipés d’un dispositif d’éclairage de meilleure qualité et moins énergivore. Si l’inflation déséquilibre l’économie souhaitée, la Ville maintient plus que jamais ses efforts. D’ici 4 ans, l’objectif est clair : changer les 50% restant du parc, soit 791 lanternes. La priorité en 2024,
est le changement des éclairages de plus de 15 ans.
Parallèlement, Bellerive poursuit sa démarche de maîtrise d’énergie indispensable à la sauvegarde de l’environnement et à la lutte face à l’augmentation exponentielle du prix de l’énergie avec l’extinction de son éclairage entre 24h et 5h, la réduction du chauffage des bâtiments publics et sa politique volontaire en matière de rénovation de ses bâtiments publics.